« L’exposition à des concentrations de particules fines supérieures aux recommandations de l’Organisation mondiale de la santé a entraîné 238 000 décès prématurés »
Ce chiffre est sensiblement plus élevé par rapport à l’année 2019 qui a déploré 231’000 décès causés par les particules fines. L’augmentation est attribuée à la pandémie de Covid-19 qui a touché plus durement les personnes présentant des comorbidités liées à la pollution de l’air (cancers, maladies pulmonaires ou diabète de type 2).
La solution la plus élémentaire pour lutter contre la pollution atmosphérique consiste à abandonner les combustibles fossiles et à les remplacer par des énergies alternatives telles que l’énergie solaire, éolienne et géothermique. Le passage aux véhicules électriques et aux véhicules à hydrogène, ainsi que la promotion de la mobilité partagée (c’est-à-dire le covoiturage et les transports publics) sont aussi des solutions pour réduire la pollution atmosphérique.
