Que seraient nos enfances sans lui, qui abritait nos parties de cache-cache, offrait ses branches à nos balançoires, ou à nos pieds lorsque l’on décidait de grimper, toujours plus haut ; sans lui qui peuplait les contes que nous racontaient les parents, le soir avant de dormir ? Il orne les parcs, les jardins botaniques, les promenades de grands domaines, les jardins familiaux. Il semble qu’on ne le connaisse que haut et large, tant il pousse vite, majestueux, protecteur, majeur malgré son éternelle verdeur.