La première semaine a été ponctuée par plusieurs annonces prometteuses, qui appellent encore des engagements concrets dans l’Accord de Paris. Les négociations formelles se poursuivent cette semaine. Les ministres sont attendus ces mardi 9 et mercredi 10 novembre, pour débloquer les points les plus compliqués.

La première semaine des négociations des Nations unies sur le climat à Glasgow touche à sa fin. Bien qu’il reste encore du chemin à parcourir, les progrès réalisés jusqu’à présent permettent d’espérer que l’accord de Paris sur le climat conclu il y a six ans fonctionne.

Selon le groupe de défense de l’environnement Global Witness, plus de 100 entreprises de combustibles fossiles auraient envoyé 500 lobbyistes aux négociations climatiques de la COP26 à Glasgow, soit plus que n’importe quel autre pays présent au sommet.

Le sommet international sur le climat a été présenté par son organisateur principal comme le « dernier espoir » de sauver la planète. Mais alors que la conférence des Nations unies entre dans sa deuxième semaine et que les négociateurs de 197 pays s’efforcent de finaliser un nouvel accord pour lutter contre le réchauffement de la planète, les participants sont très divisés sur les progrès accomplis.

À mi-parcours de la cruciale COP26, de nouveaux engagements climatiques éloignent sans doute un peu la planète du réchauffement «catastrophique», prédit par l’ONU. Mais comme promesse ne rime pas avec réalité, les appels à l’action redoublent tandis que les pays pauvres crient à l’injustice.

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