Le moteur ne pèse que 42 kilos alors que les batteries en font 224. C’est un début mais ne ce n’est pas suffisant. « La prochaine étape consistera à développer une propulsion à l’hydrogène, avec des piles à combustible, qui produisent directement de l’électricité à partir de la réaction d’oxydation de l’hydrogène. Le procédée est connu depuis le début du 19e siècle, et le défi actuel est de rendre ces systèmes plus légers et moins coûteux. » Ce sera au tour d’un prochain groupe d’étudiants·es d’en équiper un avion. Le principe de ce que l’on appelle un projet à objectif (focus project) est de permettre aux étudiants de mettre leurs connaissances théoriques en pratique et de le transmettre à la génération suivante lorsqu’ils quittent l’école. Dans ce cas c’est déjà le troisième groupe qui a pris le relais.
