Le WWF a affirmé que ses NFA étaient « écologiques » contrairement aux NFT ordinaires. L’organisation caritative avait suggéré dans sa déclaration que la vente des quelque 8’000 NFA aurait une empreinte carbone similaire à celle d’une bouteille de lait ou d’une demi-douzaine d’œufs. La raison de cet impact négligeable, selon eux, était une application blockchain intelligente appelée Polygon, qui aurait permis au projet du WWF d’avoir moins d’interactions directes avec la blockchain Ethereum. Le WWF n’aurait alors pas eu besoin d’assumer autant de responsabilités pour sa part dans l’énorme empreinte carbone d’Ethereum. Mais l’hypothèse du WWF était délicate et la réalité est bien plus complexe.