Il n’existe actuellement aucune réglementation sur le taux d’usure des pneus et peu de réglementation sur les produits chimiques qu’ils contiennent. Le taux d’usure des différentes marques de pneus varie considérablement et le contenu chimique toxique varie encore plus selon Nick Molden, d’Emissions Analytics, la principale société indépendante de tests d’émissions qui a effectué la recherche. Des changements peu coûteux sont possibles pour réduire leur impact environnemental.
« Vous pourriez faire beaucoup en éliminant les pneus les plus toxiques », a-t-il déclaré. « Il ne s’agit pas d’empêcher les gens de conduire, ni de devoir inventer de nouveaux pneus complètement différents. Si vous pouviez éliminer la moitié des pneus les plus toxiques et les aligner sur les meilleurs de leur catégorie, vous pourriez faire une énorme différence. Mais pour l’instant, il n’y a pas d’outil réglementaire, il n’y a pas de surveillance. »
