L’initiative veut que l’économie suisse s’adapte aux limites naturelles terrestres dans six domaines: le climat, la biodiversité, la consommation d’eau, l’utilisation des sols, la pollution atmosphérique et les apports d’azote et de phosphore.
« La protection de l’environnement ne doit plus être « nice to have ». Elle doit devenir la priorité numéro un. »