Dans son allocution, le Président de l’Assemblée générale des Nations Unies, Csaba Kőrösi, a noté que la communauté internationale se trouvait à « un moment décisif ». « Nous savons que nous ne pouvons pas tenir notre promesse de durabilité, de stabilité économique et de bien-être mondial en accélérant les solutions conventionnelles », a-t-il déclaré. « Nous n’avons ni le temps ni la planète pour cela. Il n’y a tout simplement plus assez d’eau douce ».