Les trois ONG sont les mêmes qui ont réussi à faire condamner l’État en justice pour son « inaction climatique » l’année dernière. Leur objectif est d’ouvrir le « procès d’un financeur du chaos climatique ». C’est la première fois qu’une banque commerciale est visée pour ses activités à haut risque dans le secteur pétro-gazier. BNP Paribas dispose de trois mois pour « se mettre en conformité avec la loi », faute de quoi les associations saisiront le tribunal judiciaire de Paris. Avec pour objectif d’aboutir au « premier contentieux climatique au monde ».