Sous certaines conditions et de manière transitoire le financement des activités liées au gaz et au nucléaire pourra donc être considéré dès 2023 comme durable ou atténuant le changement climatique (si on remplace le charbon par le gaz par exemple). La Commission justifie cette décision en s’appuyant sur le fait que les énergies renouvelables ne constituent pas une source d’énergie suffisante pour répondre à la demande croissante d’électricité.
« Faire du gaz une énergie de transition via la taxonomie est en conflit avec toutes les réglementations sur le climat »