Les observateurs des discussions ont déclaré que les discussions se sont déroulées à un « rythme glacial ». Certains ont fait référence au sommet sur le climat de 2009 qui s’était déroulé à Copenhague et qui s’était soldé par un échec de l’avis général pour faire part de leur inquiétude. D’autres ont émis l’hypothèse que la pause des discussions en personne durant deux ans et l’ombre de la guerre en Ukraine pourraient avoir contribué à la lenteur des progrès.
Pour le WWF, un accord sur un cadre en Chine doit constituer une étape similaire aux efforts contre le réchauffement climatique. « Il y a une convergence sur les missions et les objectifs », dit un responsable. « Mais davantage d’ambition est requis », affirme-t-il, mentionnant l’urgence de la situation.
