Nous jetons un tiers de la nourriture que nous produisons. Les solutions existent pour agir à tous les niveaux, individuel et collectif, et il faut s’empresser de les mettre en place.

L’objectif de l’entreprise suédoise SSAB est de démarrer la production « d’acier vert » à l’échelle industrielle en 2026. Elle avait annoncé auparavant son objectif d’atteindre une production entièrement sans énergie fossile d’ici 2045.

Ces experts montreront notamment qu’il faut « investir dans la nature » pour les empêcher en documentant les risques liés à la déforestation, au commerce des espèces sauvages et à l’élevage.

Il reste à s’assurer que les investissements soient compatibles avec les recommandations du GIEC et que les investisseurs et l’Etat agissent plus rapidement face à l’urgence.

Nous l’avons bien compris maintenant, il n’existe pas de solution unique pour endiguer la crise climatique. La clé se trouve dans une transformation profonde et un éventail de mesures, dont la gestion de la démographie.

Le sixième rapport d’évaluation du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) a été publié le 9 août. Ce rapport analyse les bases scientifiques du changement climatique et les nouvelles ne sont pas bonnes.

En couverture de la première édition de Vogue Scandinavia parue 1 jour avant le rapport du GIEC, la jeune pionnière de l’activisme pour le climat dénonce l’impact de la fast fashion et le greenwashing omniprésent.

Le roi du Bhoutan a créé le fameux indice de Bonheur National Brut en s’appuyant sur quatre piliers essentiels qui sont certainement à l’origine du bilan carbone négatif du pays.

Des animaux en hologrammes, de l’énergie verte pour faire tourner le cirque, des moyens de transport à faible émission et un écovillage pour véhiculer les valeurs de durabilité: un bel exemple.

C’est une question vitale que les entreprises devraient intégrer dans leurs réflexions pour redéfinir leurs modèles de travail suite à la pandémie de covid-19.