Les notions d’éco-anxiété, de malheur climatique ou de peur existentielle de l’environnement sont de plus en plus souvent utilisés pour décrire l’angoisse générée par la crise climatique et de biodiversité. Il y a en effet beaucoup de raisons de s’inquiéter mais lorsque le désespoir devient l’émotion dominante il faut craindre l’apathie. C’est pourquoi il est important de montrer que l’espoir existe et qu’il y a des événements positifs auxquels se raccrocher.