Dégradés de rouge rosé intense à vert pâle ! On la connait pour son acidité, on a besoin de sucre pour la rendre gourmande, mais la dose juste, pour conserver son caractère vif. Goûtez un petit morceau cru, c’est d’une fraîcheur juteuse surprenante. Je ne l’appréciais que modérément jusqu’à ce que je la cuisine. J’ai décidé de ne pas l’éplucher, ni de la faire mariner au sucre et c’est parfait comme ça et bien plus rapide ! En plus il reste une couleur rose pâle romantique après cuisson !
La recette d’un biscuit très moelleux sans sucre raffiné, sans gluten, avec de la rhubarbe confite qui se fond dans la pâte. Il peut se faire la veille car il est encore meilleur le lendemain !

On se réjouit des premiers radis pimpants et croquants! Leurs fanes sont excellentes et tendres au printemps, profitez-en, ce serait dommage de les jeter. On peut tremper les radis dans le pesto ou tartiner cette crème onctueuse au bon goût herbacé sur un toast.

Le retour du vert avant le vrai Printemps. Les épinards en fin d’hiver sont souvent charnus avec de belles grandes feuilles et quel régal de les manger tout frais. Cette recette est très simple et légère, sans gluten, mais vous pouvez aussi remplacer les farines. En accompagnement d’une salade, pour un apéro partagé, ou même au petit déjeuner !

Ils sont nourrissants et font du bien. Aucun sucre ajouté, juste sucrés par les fruits, ils sont même vegan et contiennent peu de gluten tout en restant gourmands !

J’ai réalisé ce plat pour la première fois il y a 5 ans lors d’un 31 décembre. Toute en délicatesse, la saveur douce du colrave s’harmonise parfaitement avec la truite fumée et les algues. Pour les végétariens, ce sera bon aussi sans la truite.

J’aime les blettes et particulièrement les faire aimer ! Leur saveur est profonde, parfois un peu terreuse, comme la betterave qui est de la même famille : « bette-rave ». On entre dans le cœur de l’automne, les derniers légumes d’été disparaissent pour de bon cette fois, mais il y a encore des blettes et hormis pendant les journées les plus rudes, elles peuvent être cueillies tout l’hiver.

L’automne tarde à s’installer, mais les premières poires sont là. Les producteurs les présentent en fonction de leur maturité et de leur capacité à se conserver. Elles sont fragiles et s’achètent en général encore fermes pour ne pas les abimer, puis en 2-3 jours à température ambiante elles murissent et exaltent toutes leurs saveurs.

La transition vers l’automne a commencé et peut-être avez-vous envie de saveurs plus rondes, plus douces en délaissant un peu le cru et la grande fraîcheur des concombres, tomates, melons et pastèques. Ce plat est composé d’une purée d’aubergine mélangée à du tahini et du miso, des haricots verts, des poivrons et des noix. Et si vous n’aviez ni miso, ni tahini, ou seulement l’un des deux ne vous réfrénez pas de cuisiner ! Ce sera bon aussi.

J’ai en mémoire les courgettes farcies de ma famille qui contenaient un peu de viande mais surtout beaucoup d’herbes, des légumes, un peu de céréales. Elles étaient très aromatiques. J’aime l’idée de considérer la viande comme condiment et ce plat en est la parfaite illustration. Je n’ai pas de recette précise, je la fais évoluer chaque année avec un objectif gourmand. On peut s’amuser à farcir des petites courgettes rondes ou LA grosse courgette oubliée du jardin pour un plat de partage.
Alors j’ai envie de vous transmettre une recette avec plusieurs options, surtout pour vous inspirer et revisiter vos courgettes farcies.